Démolition de Saint-Joseph, le 9 décembre 2015

Le soit tombe sur St-Jo, je monte sur le tas de gravats et fais un premier diaporama, avec les futures constructions sur le terrain des sport et le gymnase à droite.

Les nouvelles constructions juste à côté.

L'emplacement des ateliers de mécanique le long de l'avenue de Boufflers et à gauche, le chemin menant au gymnase.

Celui du bâtiment principal.

La cour de St-Jo.

La cantine au fond et la rue Sydney Béchet à droite.

L'internat et des salles de classes.

L'observatoire au centre et le terrain de sport à droite.

Je refais un diaporama depuis le centre du chantier, à l'emplacement du bâtiment principal, avec l'avenue de Boufflers au fond.

De l'autre côté de l'avenue de Boufflers avec l'internat à droite.

L'internat à gauche.

L'emplacement de la cantine à droite.

La rue Sydney Béchet au fond.

La rue Sydney Béchet au fond et le terrain de sport à droite.

Le tas de gravats sur lequel je me trouvais précédemment devant le terrain de sport.

Derrière le tas de gravats le plus clair, les ateliers de mécanique.

Le chantier de démolition s'achève, je prends mon temps avant de partir.

Une page se tourne.

Cui-cui

L'automne est bien là, il pleut, la température baisse, les feuilles tombent des arbres et les oiseaux  se réchauffent les plumes sous les rares rayons de soleil. Ce petit merle m'a vu, on aurait dit qu'il prenait la pose, quelques secondes après la prise de cette photographie, il s'est envolé.

Photo prise le 2 décembre à Nancy.

Démolition de Saint-Joseph, le 3 décembre 2015

Les gravats sont concassés inlassablement.

Je ne m'attendais pas à revoir des morceaux du vitrail provenant de la chapelle de St-Jo dans les décombres.

En prenant de la hauteur sur l'énorme tas de gravats, il est plus facile de voir l'avancée des constructions sur le terrain de sport.

De nouvelles fondations sont coulées, quand elles seront sèches, de nouvelles maisons sortiront de terre.

Le soleil se lève sur St-Jo.



Il est 10h30 du matin, la circulation n'est pas très dense sur l'avenue de Boufflers.

La scène de concassage vue depuis ce même tas de gravats.

Démolition de Saint-Joseph, le 1er décembre 2015

Il reste de moins en moins de gravats à concasser. Le mât qui se détache de derrière le tas de gravats...

...n'est autre qu'une immense grue sur le chantier d'à-côté !

Les gravats sont déposés sur le petit tas, devant le grand, à gauche de la photo. Il pleut de plus en plus fort, de grosses gouttes apparaissent sans cesse sur mon objectif.

St-Jo vu depuis l'internat...

...le long de l'avenue de Boufflers.

Je refais un autre diaporama...

...un peu plus loin...

...près du site de la cantine...

...avec le site de l'internat en arrière-plan.

Démolition de Saint-Joseph, le 27 novembre 2015

Le brouillard est vraiment épais, la pelleteuse brille de mille feux.

Entrée des gravats dans le concasseur...

...puis sortie. Le tas de gravats à l'arrière-plan ne cesse de grossir.

La station-service avenue de Boufflers vue depuis St-Jo.

Tout est gelé, on se croirait dans un autre monde.

Les gros sacs d'amiante qui se trouvaient derrière les barrières à droite de la photo ont disparus.

Les silhouettes des démolisseurs vues depuis le site de la cantine.

Démolition de Saint-Joseph, le 23 novembre 2015

A cet emplacement, se trouvait le bâtiment principal de St-Jo.

Les ateliers de mécanique étaient situés là où la terre marron est visible.

A la place de ce trou béant à la terre fraîchement retournée se trouvait l'internat haut de six étages.

Juste à côté, la cantine était encore debout il y a quelques mois.

A gauche de la photo, se trouvaient trois bâtiments parallèles : un internat, des salles de classes et l'observatoire. Ils furent les premiers à être démolis. La cantine était située juste derrière le tas de gravats à droite de la photo et le bâtiment principal vers le milieu de la photo. 

Le terrain de sport se trouve derrière l'énorme tas de gravats qu'on voit en arrière-plan. La présence du concasseur indique qu'il y en a encore pour plusieurs semaines de travaux.

Je crois que je ne me lasserai pas de prendre ces engins en photo ! :)

Démolition de Saint-Joseph, le 19 novembre 2015

St-Jo vu depuis la rue Sydney Béchet.

Les nouvelles constructions ont maintenant des portes et des fenêtres.

Le quartier va encore beaucoup changer dans les mois qui suivent.

La vue est bien dégagée depuis que les bâtiments sont tombés.

Les herbes folles envahissent St-Jo...

...elles recouvrent des trous et saletés en tous genres, il faut faire attention où on met les pieds.

Ils sont en train de démonter le bras de la pelleteuse. La machine pèse 54 tonnes, le bras une vingtaine.

L'espace autour de l'internat démoli récemment a été nettoyé. Une société d'assainissement est en train de nettoyer la cuve encore enfouie.

La cour de St-Jo ne résiste pas au poids de engins de chantier. 

La deuxième fermeture de la cuve est arrachée, ce qui fait gagner beaucoup de temps aux hommes de l'assainissement.

La cuve est vidée par aspiration, à la manière d'un aspirateur. Une fois cette dernière nettoyée, un certificat est empli et elle peut partir à la décharge. Le camion, quand à lui, est nettoyé entre deux assainissements pour ne pas que les produits se mélangent.

Le numéro 30 correspond au fuel qui remplissait la cuve et le 3295 signale un liquide inflammable.

La cuve est nettoyée de fond en comble, elle sera contrôlée par la suite pour avoir la certitude qu'elle est parfaitement propre.

Le losange blanc indique que le produit est dangereux pour l'environnement et le rouge signale un produit inflammable.

Les deux autres cuves sont nettoyées de la même manière. Les hommes de l'assainissement manipulent et transportent des produits chimiques qui pourraient s'avérer dangereux, c'est pour cela qu'il suivent une formation tous les cinq ans à la suite de laquelle ils sont déclarés aptes à exercer leur métier.

Le bras a été séparé de la pelleteuse.

Les constructions vues depuis le chemin menant au site du gymnase.

Pour l'instant, cette partie du terrain de sport est restée telle quelle.

La végétation envahit l'emplacement du gymnase.

Un trou dans l'allée menant au gymnase révèle que des canalisations passaient par là.