La démolition du bâtiment avenue de Boufflers suit son cours. |
"Regarde le beau morceau que je viens d'arracher." :) |
Le béton ne fait pas le poids face à la puissance de la machine de 29 tonnes (sans la pince au bout du bras). |
Les plafonds cèdent sans trop de difficultés sous la répétition des coups verticaux qui lui sont portés. |
Pour ce qui est des piliers et autres structures renforcées qui portent l'édifice, la démolition est plus ardue. |
Quand tirer sur la pièce ne suffit pas, l'ouvrier s'attaque aux tiges qui la retiennent. |
L'operation est répétée autant de fois que nécessaire. La lutte est acharnée, le béton "hurle" quand on l'arrache, on dirait des cris d'agonie. |
Finalement, la structure lâche, c'est l'homme et sa machine qui l'emportent. |
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